En cavale dans un panorama sonore joyeusement mélancolique, on ne pourra louper le tour du monde du primate congolais.
–
La feutrine joue son rôle, au fond d’un lounge aux lumières tamisées et aux angles arrondis. Teintée d’acid jazz, on lui évite la caricature, en se raccrochant aux reliefs rythmiques non si hypnotisants.
–
Il est probable que, du coup, vous sentiez le vent souffler dans votre canapé, ou que vous entendiez les oiseaux chanter dans votre salle de bain, bien plus justement que d’ordinaire : les éléments se seront mis en phase, naturellement.